lp de qc, Chap. N°9 - Fresque, Vimanas et Bible
22/09/2017 06:11Derniers paragraphes et phrases du précédent chapitre
L'ensemble du déluge ne s'est pas limité à un seul grand raz de marée. Il y a eu en tout plusieurs impacts dans différentes parties du monde. En outre, des tremblements de terre partaient de la croûte terrestre partout éventrée, et produisaient dans la mer les raz de marée redoutés - les tsunamis. Les différents impacts et les éruptions de la croûte terrestre produisirent plusieurs raz de marée gigantesques, qui furent accompagnés de vagues secondaires et qui se recouvrirent et s'accumulèrent dans diverses parties du monde.
Le poids de l’eau déclencha des éruptions volcaniques qui mirent le feu à des grandes forêts de conifères, et la température de la terre monta faisant tout fondre sur des milliers de kilomètres, les traces géologiques en sont témoins.
« L'impulsion thermique irradiée à une grande vitesse par le foyer de l'explosion peut être considérée comme le début d'un violent incendie mondial. L'ouragan et la tempête de chaleur brûlante ainsi déclenchés pouvaient avancer à la vitesse de 1200 km/h, et abattaient encore des forêts comme des allumettes à plusieurs milliers de kilomètres de distance. Les fragments et les retombées incandescentes de précipitations radioactives provoquèrent de grands incendies dévastateurs qui s'étendirent à partir de plusieurs centres dans toutes les directions. La chaleur incandescente fit éclater les rocs, assécha les fleuves et fit bouillir les lacs et les mers. La comparaison avec les grands incendies dans les villes et les sinistres habituels fait conclure à des températures bien supérieures à 1500°C. C'est pourquoi les mythes n'exagèrent pas quand ils parlent des minéraux liquéfiés dans les montagnes.
Ainsi, la religion de la Perse ancienne parle-t-elle conformément à la vérité de métaux qui se liquéfièrent dans les montagnes et se répandirent comme un flot incandescent sur la terre. Le point de fusion du cuivre est par exemple de1083°C, celui de l'argent de 961 °C, de l'or de 1063°C et du fer pur de 1535 °C. Ces températures sont dépassées lors d'un incendie de taille mondiale, et ce savoir montre que les anciens mythes ne flottent pas dans la lueur d'une tradition fécondée par l'imagination. »
Aujourd’hui nous sommes au début d’une ère atomique qui a déjà, semblerait-il, existé.
Partout où il y a eu des essais nucléaires la roche, les sédiments, et surtout le sable, car presque tous les essais ont été pratiqué dans des desserts, pour la France dans le Sahara algérien, pour les Royaumes Unis le Désert de Sable et celui de Victoria en Australie, pour la Chine le désert de Gobi, pour l’Inde celui de Thar dont je reparlerai, pour le Pakistan celui de Cholistan, qui est le même désert que l’Inde seul le nom change, pour les États-Unis, - USA -, les plateaux du Colorado et celui de Mojaves, et pour finir la Sibérie qui n’est pas considérée comme désertique, et dans tous ces lieux il y a sur des hectares de terre vitrifiées d’une couleur de vert sale, opaque.
On ne connaît de la machine d'Anticythère qu'un exemplaire, dont les fragments ont été trouvés en 1901, dans l’épave d’une galère romaine, longue d'une trentaine de mètres, près de l'île grecque d’Anticythère entre Cythère et la Crète, par des pêcheurs au large de la côte, qui a été datée comme antérieure à 87 av. J.-C.
« Pour moi, ces sujets prouvent définitivement l’existence des Nephilims, les Anges déchus, qui, étaient nettement plus avancés que nous technologiquement parlant aussi bien que surnaturellement plus fort. » Hans Joachim Zillmer
Ce mystérieux dispositif mécanique est décrit comme le premier ordinateur analogique du monde. Les scientifiques s’accordent à dire qu’il est réel et remonte aux alentours du IIème siècle avant JC, ce qui signifie qu’il est âgé de plus de deux mille cent, deux mille deux-cents ans.
La machine d'Anticythère est le plus vieux mécanisme à engrenages connu. Ses fragments sont conservés au Musée National archéologique d’Athènes
Fresque, Vimanas et Bible
Chapitre N° 9
Depuis les deux derniers chapitres je vous écris dans le bizarre, l’étrange, le mystère qui a existé avec certitude, mais un grand peintre, d’opinion religieuse chrétienne, qui peint avec prémonition au XVIIème siècle dans une église à Montalcino en Italie voilà encore plus étrange
Trois œuvres d’art remarquables sont situées dans l’église récemment restaurée de San Pietro, à Montalcino, province de Florence, en Italie. La fresque située immédiatement derrière l’autel est appelée « la Glorification de l’Eucharistie » et a été peinte juste avant l’an 1600 par l’artiste Ventura Salimbeni. Bien qu’il ait peint le monde avec une colombe planant au-dessus, un examen plus attentif fait que cette œuvre est rare et inhabituelle du fait qu’elle dispose d’un dispositif apparemment mécanique, qui ressemble à un satellite de surveillance.
Si vous contemplez cette fresque avec attention, image à votre gauche, vous constaterez que l’image en plein centre ressemble à si méprendre, de loin, à celle d’un poste de télévision.
Cette gravure pieuse disséquée sur votre gauche nous montre le « Fils » et le « Père » avec une représentation de « l’Esprit d’Intelligence », un oiseau, une colombe blanche qui pour la chrétienté représente quelque chose qui n’existe pas « l’Esprit-Saint ou le Saint-Esprit », en effet « l’Esprit », c’est-à-dire « l’Intelligence », est invisible, impalpable, intouchable et nous arrivons à connaître l’importance « d’Esprit » de notre semblable grâce à ses paroles, ses actions.
Le dispositif, la Terre ronde, dispose clairement d’antennes télescopiques. Au centre, cette protubérance apparaît-être l’œil d’une caméra ou celui d’un projecteur de lumière. Je réitère, cette fresque est peinte dans une église que la chrétienté restaure avec les fonds du Vatican et la générosité des fidèles. Le peintre était-il un visionnaire ? Où, avait-il l’esprit embué, pour ne pas comprendre ce qu’il peignait ? … Que de choses de notre monde moderne sur cette toile ? Je m’aventure légèrement, mais cet homme, devait être très pieux, puisque la majorité de ses œuvres ont été faites dans des églises, chapelles, cathédrales, en écrivant par l’image le dernier Livre de Jean sur l’ile de Patmos, l’Apocalypse ou Révélation. Jean, dans sa Révélation, écrit sur les images qui parlent, et ces images qui parlent sont bien représentées dans la toile de gauche au centre. (Apocalypse XIII : 15)
De plus près cette image centrale est un calice voilé, mais la confusion est là !
Vous Lectrices et Lecteurs retenez bien ceci, nous sommes là, au XVIIème siècle ! Alors, maintenant reculons dans le temps et réfléchissons avant et après le Déluge !
Légendes, réalités, avant ou après mais pour certains mystères que je vous ai déjà écrit dans les deux chapitres précédents, je vais continuer mais en mélangeant des textes bibliques éthiopiens et orthodoxes que les catholiques considèrent comme apocryphe, alors que les deux religions citées les vénèrent comme canoniques, et pourtant tous sont chrétiens !
Vous comprenez pourquoi, moi Grandeloupo qui suis un croyant, je suis considéré comme un « Païen » pour les chrétiens, un « Infidèle » pour les musulmans, et si j’avais vécu quelques siècles en arrière, ces charmants chrétiens et musulmans m’auraient fait brûler sur un bûcher, pour le premier, et couper la tête sur un bio pour le second.
Les Vimanas sont l’une des découvertes archéologiques les plus choquantes ! Aquaziam News déclare :
« Elle se réfère à une collection de documents historiques de l’Inde antique qui décrivent un ensemble de machines volantes incroyables et des armes d’une norme technologique encore plus avancées que celles qui existent aujourd’hui. La plus ancienne mention de ces machines se trouve dans les textes sanskrits connus comme le Veda et remontent à environ 1500 avant JC. Une traduction moderne nous dit : « sauter dans l’espace rapidement avec un engin utilisant le feu et l’eau … contenant douze stamghas, piliers, une roue, trois machines, 300 pivots et 60 instruments. »
Dans les textes du Ramayana il y a des références à des machines volantes qui ont été utilisés pour la commodité de la classe dirigeante. Dans les textes du Mahabharata il y a des descriptions d’avions de combat qui tirent des missiles, qui utilisent le son pour trouver leur cible, et des faisceaux de lumière qui détruisent tout ce qu’ils touchent avec leur énergie. Le crédit pour ces machines a été attribué aux Yavanas qui sont censées être les anciennes civilisations grecques.
Attention, nous avons la surprise de découvrir que les dieux étaient faits de chair et de sang, qu'ils se déplaçaient dans des vaisseaux aériens, les Vimanas, et qu'ils utilisaient des armes ressemblant à s'y méprendre à nos armes modernes de destruction massive.
L'hypothèse est certes hardie mais la précision du texte, les descriptions qui y sont faites quant aux armes, aux techniques et aux prouesses des « Vimanas » inclinent qu'elle est fondée et qu'elle mérite d'être prise en considération.
Des machines volantes, des bases spatiales sont décrites dans les anciens Veda indiens jusque dans des particularités et des détails incroyables. Un petit passage de l'épopée en vieil indien Ramajana rend de façon parfaitement distincte la précision des descriptions : « Rama s'assit dans le char céleste . . . et se prépara au vol. Le véhicule avait deux étages et beaucoup de chambres et de fenêtres. Quand le véhicule s'éleva dans les airs, il fit entendre un long bruit. Le char céleste bri!!ait comme un feu dans une nuit d’été, il ressemblait à une comète dans le ciel et flamboyait comme un embrasement rougeoyant. » On peut aussi lire dans la Bible beaucoup de rapports sur des objets volants et les vols de certains prophètes, en d'autres endroits de la Terre et en certains lieux du firmament. Le livre « La lumière des Pharaons » de Peter Krassa et Reinhard Habeck traitent de la haute technologie et de l'utilisation du courant électrique dans l'Égypte ancienne.
Nous trouvons dans l'histoire de la création des Sumériens, Akkadiens, Araméens des rapports non équivoques sur des extraterrestres considérés comme des dieux, ainsi que sur des navires spatiaux, des bases et des fusées de tous les types connus. Les dragons volants, les chars célestes ou les chars de feu sont mentionnés dans tous les mythes de Chine, d'Inde, d'Égypte, d'Israël, d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, ainsi que de l'antiquité grecque.
Revenons maintenant aux textes bibliques
Imaginons !
Un couple de chaque espèce rentre dans l’Arche ! ….
Dinosaure, Mammouth, Tatous, Tigres, Camélidés, Équidés, etc……plus cent à cent cinquante humains sans compter les enfants de bas âge.
Le « Déluge » à lieu !
Oui !
Mais comment ! ……
« Il ne pleuvait pas sur la Terre. Toutefois, un flot montait de terre et arrosait toute la surface du sol. » Genèse II : 4
Cela s’explique par l’effet de serre, car la Terre était protégée par une nuée de haute altitude des rayons du soleil.
C’est juste un petit rappel
La « nuée » de haute altitude se désagrégea, s’effondra, ce qui provoqua le Déluge sur toute la Terre.
Cet événement eut de grave conséquence sur la planète.
En premier l’immense écart de température entre l’équateur et les pôles, puisque l’effet de serre avait disparu. Il s’est passé le même phénomène qu’il existe pour fabriquer du froid. Tout le monde sait que nos réfrigérateurs, climatiseurs, fonctionnent grâce à la chaleur. Ce que nous constatons pour nos congélateurs, nous le refusons pour la « Planète », pourtant ce principe chimique est immuable, dans les deux sens.
Faites couler de l’eau très chaude, ajouter lui de l’eau froide, systématiquement pendant quelques instants, l’eau monte en température avant de chuter.
Voilà pourquoi nous retrouvons des Mammouths en Sibérie.
Comme suite à ce « Déluge » tout ce qui était vivant sur la Terre, les bêtes, bestioles, volatiles, bêtes sauvages et rampantes, ainsi que l’humain ont subi un changement physiologique dû aux rayons du soleil.
Mais aussi la Terre, les Continents, les Océans, les Mers, des Montagnes se soulevèrent, d’autres s’enfoncèrent, des Iles disparurent, d’autres apparurent et ainsi de suite, car la croûte terrestre n’est pas uniforme, donc avec la masse de l’eau, obligatoirement il y a eu déformation de la surface de la Terre. Faite l’essai avec un grand plastique que vous étalez dans l’herbe, puis vous versez de l’eau dessus et constatez ! ...
Autre chose l’Arche et tout son monde, naviguât pendant une année sur l’eau avant de retrouver la terre ferme. Il y eut des morts chez les animaux comme chez les êtres humains, cela est logique. Ne pouvant trop bouger dans l’Arche l’anatomie de certains animaux se transformât, puis sur la terre, à cause du soleil cette transformation continuât, car ce qui fut valable pour l’humain le fut aussi pour le monde animal et végétal.
Une transformation importante de l’humain allait avoir lieu ! ….
Mais avant retournons aux « Écrits », tous les Écrits ! …
EL-SHADDAÏ répéta aux animaux ce qui avait été dit aux jours de leur création : « Multipliez-vous…………. », mais à l’humain ce qu’il dit confirme la tenue des animaux par apport à l’homme.
« Fructifiez et multipliez-vous, remplissez la Terre ! …
La crainte et l’effroi que vous inspirerez s’imposeront à tous les animaux de la terre et à tous les oiseaux des Cieux.
Tous ceux dont fourmille le sol et tous les poissons de la mer, il en sera livré à votre main ….. Tous ce qui remue et qui vit vous servira de nourriture, comme l’herbe verte ; je vous ai donné tout cela ….. Seulement vous ne mangerez point la chair avec son sang, avec son âme …..//…..Qui répand le sang de l’homme, par l’homme son sang sera répandu, car ….. »
Vous remarquerez la différence des Écritures… .. Avant ce Déluge tous les êtres vivants se nourrissaient de verdure. L’humain avait autorité sur tous les animaux quels qu’ils soient, petits et grands, sur et dans la terre, dans les cieux et dans les eaux.
Après cet événement le langage est tout autre !
Ce n’est plus une autorité, mais une crainte et un effroi que l’humain inspirera pour tout ce qui vie et qui remue sur toute la Terre. Pour vivre l’humain comme certains animaux devront manger de la viande.
Une inimitié est née entre l’homme et les animaux et les animaux entre eux car certains serviront de repas pour d’autres comme exemple les gnous, zèbres, antilopes, sont les repas des lions, panthères, tigres, etc.
Une autre gestion, avec d’autres Règles, d’autres Lois étaient nécessaires pour la Terre, car maintenant la nuée de haute altitude qui enveloppait la Terre et qui servait de filtre à certains rayons du soleil, les Ultra-Violets, n’existait plus.
L’INVENTEUR de l’humain connaissait les dangers de certains rayons du soleil puisqu’il avait posé une protection. Il s’est servi de ces « UV » pour accélérer le « Mystère du vieillissement » de toutes chairs, particulièrement celui de l’être humain car il donna à celui-ci 120 ans de vie maximum, et « IL » s’est aperçu que le fond de l’humain était mauvais, alors même s’il avait pardonné à sa marionnette, il avait une rancœur, une tristesse contre son « pantin »
Après Adam et Ève, « IL » constatât que la descendance de ces deux premiers humains était tournée vers le mal et que, les invisibles qu’il avait créé à sa ressemblance, bien avant Adam et Ève, avec un cerveau afin que, eux aussi soient libre de leurs actes, un certain nombre avait suivi le premier Ange créé Sammaël, qui s’était retourné contre son concepteur et tous avaient été plongé dans un long sommeil et précipité sur la Terre et ses environs qui est le « Firmament ». C’est pendant ce « Temps » de torpeur que l’Homme fut déposé sur la Terre, puis que la femme fut façonnée des mains d’EL-SHADDAÏ et présentée à l’homme sur la Terre en Territoire d’Eden. Tous les deux étaient parfait de corps et d’esprit et le liquide qui coulait dans leurs artères et veines, le sang, était d’une grande pureté. Tous les deux prenaient soin de l’entretien du Territoire et donnaient un nom à tout ce qu’ils voyaient du plus petit au plus grand, faune, flore, insectes, animaux sauvages et domestiques, et c’est pendant ce temps que Sammaël et tous les siens furent libérés de leur léthargie et que ce Dieu seul et unique leur dit :
« Les Cieux vous sont interdits, vous avez la Terre et ses environs comme Royaume pour « un Temps, des Temps et une partie du Temps » et pour toi Sammaël nous verrons lequel de nous deux est « Dieu », puisque tu m’as mis au Défi que pas un seul humain me prierait, et pas un seul suivrait mes Lois et Préceptes ! … »
La pression atmosphérique était moins importante sur la Terre ainsi que l’attraction terrestre voilà une explication des grands arbres, des herbes gigantesques, et des humains de grande corpulence tout comme les animaux
Les patriarches de cette époque ainsi que leurs semblables vivaient jusqu’à neuf cent soixante années et plus sans jamais atteindre le millénaire.
Les humains se multiplièrent sur la Terre, ils remplirent toute la surface de l’Aride, et le mal était dans leur cœur.
EL-SHADDAÏ commençât à regretter d’avoir façonné l’humain, de l’avoir déposé sur la Terre, car plus il se multipliait, plus il devenait méchant et tortueux. Les patriarches se succèdent, Adam engendra Seth qui engendra Énosh, qui engendra Quénâm, qui engendra Mahalaël, qui engendra Yered, qui engendra Hénoch et cet humain marcha avec EL-SHADDAÏ, qui l’appela son « Scribe de Justice », qui engendra Mathusalem le patriarche qui vécut le plus vieux de la planète Terre, qui engendra Lamech, qui engendra Noa dit Noé dans la Bible, quand Noé termina l’Arche tous les Patriarches étaient décédés.
La descendance d’Hénoch jusqu’à Noé marcha avec les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ.
Bien avant la naissance d’Hénoch les « Fils du Ciel », plus exactement les Anges qui suivirent Sammaël dans sa rébellion contre leur Fondateur, vissent que les filles des hommes étaient très belles. Ceci se passe du vivant des Patriarches qui vivent encore, quand le sixième, Yered, prend Baraka fille de Rasouyal pour épouse, et que les Anges du « Mal », les « Serviteurs » de Sammaël, au nombre de deux-cents, prirent une enveloppe humaine, sachant qu’il n’y avait pas de retour et qu’ils s’accouplèrent avec les filles des hommes pour avoir des enfants.
L’original du livre d’Hénoch est perdu, mais il existe un nombre important de copie en Grec, Latin, Slave et le plus important en Guez traduit directement de l’hébreu et de l’araméen. Je ne vais pas vous poser le prologue du Livre d’Hénoch qui est vraiment ardu
« La version éthiopienne est la seule qui paraisse complète. Elle nous est connue par vingt -six manuscrits qui se trouvent dans les grandes bibliothèques de l'Europe : en Angleterre (Bodléienne, British Muséum, etc.), en France (collection d'Abbadie et Bibliothèque nationale), en Allemagne (Francfort, Berlin), en Italie, etc. L'Angleterre en possède quatorze, dont neuf au British Muséum et deux à la Bodléienne ; la France, huit, dont six dans la collection d'Abbadie (aujourd'hui à la Bibliothèque nationale) et deux à la Bibliothèque nationale, etc. On emploie pour les désigner les lettres de l'alphabet, dans l'ordre introduit successivement par Dillmann, Charles et Flemming »
“A : Bodleianus, 4. — B : Bodleianus, 5. — C : Francofurtensis Riipp. II, 1. — D : Curzon. [1]. — E : Curzon. [2]. — F : Brit. Mus. Add. 24185 (Wright, Catalog of Ethiop. ikfss., Londres, 1877, n° 5). —G : Brit. Mus. Orient., 485 (Wright, n" 6). —H : Brit. Mus. Orient., 484 (Wright, no 7). — J : Brit. Mus. Orient., 486 (Wright, n" 8). — K : Brit. Mus. Orient., 490 (Wright, n° 12). — L : Brit. Mus. Add., 24990 (Wright, n° 13). — M : Brit. Mus. Orient., 491 (Wright, n° 15).—N : Brit. Mus. Orient., 492 (Wright, no 16). —O : Brit. Mus. Orient., 499 (Wright, n" 23). — P : Lindesianus, 23 (au comte de Lindsay). —Q : Berolinensis Peterm., 11, Nachtr. : no 29. — R : Abbadianus, 16. — S: Abbadianus, 30. — T : Abbadianus, 35. — U : Abbadianus, 53. — V : Abbadianus, 99. — W : Abbadianus, 197. — X: Romanus, 71. — Y : Monacensis, 30. — Z : Parisinus, 50. — Z'' : Parisinus, 49.
Plusieurs de ces manuscrits sont des copies de la Bible éthiopienne, dans lesquelles Hénoch se trouve placé au milieu des livres de l'Ancien Testament, quelquefois avant celui de Job. Comme les autres manuscrits éthiopiens, ils sont tous écrits sur parchemin.
Après U, qui remonte peut-être au XVème siècle, les plus anciens, G et Q, remontent au XVIème siècle, quelques-uns, P, T, X, Y, Z, et peut-être W, au XVIIème"; la plupart, A, B, G, D, E, H, J, K, L, M, N, 0, S, W (?), Z (copie de B) seulement au XVIIIème , et trois F, R, V, au XIXème siècle.
Dillmann lui-même mitigé sa première opinion dans un de ses derniers articles et admet un original « hébreu -araméen » »
Au début de ce chapitre je vous écrivais sur une fresque de XVIIème siècle, puis sur les Vimanas, vaisseaux des « Dieux » Hindous ayant existé avant le « Déluge ». Il est prouvé par les scientifiques spécialisés que la technologie de l’époque était beaucoup plus avancée que la nôtre puisqu’il se servait de rayon laser et des ondes du son pour faire la guerre avec des armes beaucoup plus destructrices que celle d’aujourd’hui comme l’arme nucléaire, de cela j’écrirai dans le prochain chapitre.
Comme prévenu, j’ai mélangé preuves étranges, bizarres, mais irréfutables de notre civilisation ancienne quoi que « l’Humain » soit jeune, et pas des milliards d’année, tout au plus dix mille ans et je suis généreux, car nous sommes plus près des six mille ans, car aujourd’hui il est prouvé que Darwin fut un faisan avec son « Évolution »
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
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