lp de qc, chap. N°6 - Atlantide, réelle pour Platon
26/08/2017 07:20Dernières phrases du chapitre précédent
Je ne vais pas en rester là ! Car il y a sur cette Terre des phénomènes étranges contés par les humains. Les humains ont l’esprit fertile et particulièrement ceux de la descendance de Sem, de Cham, de Japhet et de tous les autres de la famille noahide nommé en général sémitique. La littérature Arabo-Persique regorge de ces histoires fabuleuses avec des Géants, Cyclopes, Ogres, lampes et lanternes magiques, avec des magiciens enfermés dans une fiole, enchainés dans un livre, se déplaçant sur un Tapis-Volant à la vitesse de la lumière, etc ….
Si certes, il y a un peu d’imagination humaine, du fantastique, du merveilleux, il y a aussi du vrai, du véridique, du vécu comme base du conte ou de l’histoire.
Je vais continuer à écrire, pour vous émerveiller, des choses admirables qui se sont passés sur notre planète Terre. Nous nous croyons en ce XXIème siècle plus intelligent que nos ancêtres antédiluviens et après, nous ferions mieux de rester humble car je vous réserve quelques petites surprises !
Atlantide, réelle pour Platon !
Chapitre N° 6
Tous les spécialistes du monde entier, géologues, archéologues, paléontologues, sont d’accord pour reconnaître que tout le Sahara et d’autres déserts sur la Terre était des mers il y a moins de dix mille ans.
D'anciennes traditions tibétaines rapportent une inondation du haut plateau tibétain, et selon de vieilles chroniques chinoises, Schu-King, la position des points cardinaux a été déterminée de nouveau, les mouvements ainsi que l'apparition du soleil, de la lune et des signes du zodiaque ont été de nouveau calculés et représentés, et la durée des saisons fixée. Un nouveau calendrier a été établi. Velikovsky résume de façon pertinente la raison des anciennes traditions chinoises relatives à la nécessité de ces modifications dans son « Monde en Collision » : « . . . provoque l’impression que pendant la catastrophe, la trajectoire de la Terre et ainsi l’année, l’inclinaison de faxe de la Terre, donc les saisons ainsi que la trajectoire de la lune et par suite le mois avaient changé. Nous n'apprenons pas ce qui a produit ce bouleversement du monde, mais il est écrit dans les anciennes annales que pendant l’époque où régnait Yahou, une étoile brillante a surgi de la constellation Yin ».
Depuis plus de 2500 ans, beaucoup de personnes sont convaincues qu'il doit y avoir eu une grande île quelque part entre l'Europe, l'Afrique et l'Amérique. Elle suscite les spéculations les plus variées. Ce que nous savons sur cette île est contenu dans les dialogues de Platon, 427-34 7 av. J-C., connus sous le nom de Timée et de Critias.
Critias, l'oncle maternel de Platon, souligne expressément qu'il doit s'agir d'une histoire étrange, mais vraie, que le sage Solon a apportée autrefois d'Égypte en Grèce. ---(Solon né à Athènes vers 640 av. J.-C., et mort sur l’Ile de Chypre vers 558 est un homme d’État législateur, et poète athénien.) ---
L'île est l'Atlantide enveloppée de légendes. Platon mentionne expressément qu'elle ne se trouvait pas dans la Méditerranée, mais au-delà des colonnes d'Hercule, qui est le Détroit de Gibraltar et massif de l'Atlas. Il poursuit :
« L'île était plus grande que la Libye et l’Asie réunies, et l’on pouvait se rendre à l’époque à partir d’elle dans d’autres îles, et depuis celles-ci sur l’ensemble du continent situé en face, qui entoure le véritable océan. Car tout ce qui se trouve de ce côté-ci de la route d’Héraclès n'est qu'un golfe semblable à un port avec une entrée étroite. Mais cette autre mer est une vraie mer, et la terre qui l’entoure peut à juste titre être appelée Continent. »
L'exactitude de la description est incroyable si l'on songe que l'histoire a certes été rédigée par Platon, mais qu'elle est censée reposer sur des sources égyptiennes encore plus anciennes. Elle décrit non seulement la Méditerranée avec le passage de Gibraltar, mais aussi un autre continent - l'Amérique - au-delà de l'océan, de l'Atlantique. Entre les deux est censée s'être trouvée autrefois une île aussi grande qu'un continent. Il faut songer que les régions de l'Asie connues à l'époque étaient beaucoup plus petites que la région gigantesque de l'Asie actuelle.
Une partie de la montagne fendue est Gibraltar et l'autre est soit Monte Hacho, soit Djebel Musa. Ces deux montagnes prises ensemble ont depuis lors été connues comme les « Colonnes d'Hercule ».
Cette « Ile » a-t ’elle vraiment existée ? Pas seulement dans l’esprit de Platon ? Existe-il des preuves ? Que disent les écritures anciennes ?
Alors voici quelques faits troublants et étranges pour un humain qui veut regarder « plus loin que le bout de son nez ! … ! » En effet le bananier, ceux qui le cultivent pour leur plaisir, savent qu’il se reproduit par la racine. Ces humains, enfin certains se sont demandés comment le bananier était venu dans les grandes et petites iles qui entourent le Brésil, sachant que c’est une plante tropicale.
Christophe Colomb quand il découvrit en premier les Antilles, puis le Brésil quel ne fut pas son étonnement quand en s’enfonçant dans les terres il remarqua les Temples de leurs Dieux en quadrilatère pyramidale, une réplique exacte des premières pyramides Égyptiennes. Aujourd’hui les géologues, archéologues et paléontologues reconnaissent que ces constructions dateraient sans se tromper de plus de 8 000 ans avant l’Ère Commune, (EC), juste quelques siècles après le « Déluge. » Questions ? Comment ces humains connaissaient-ils le système de levage des blocs cubiques, voire rectangulaires, mais plus étonnant, les formules de calcul arithmétiques et géométriques ? Quel était leur avance scientifique et technologique ? Ce n’est pas le même ingénieur qui a conçu les Temples pyramidales Égyptiens, Aztèques et Mayas ? Des siècles les séparent ! …
Un autre phénomène bizarre, nous savons qu’il existe deux genres d’éléphant, celui d’Afrique et celui de l’Inde, de Birmanie, mais jamais au Brésil, et pourtant dans les grottes de ce pays les archéologues avec les géologues trouvèrent des peintures représentant des éléphants d’Afrique, prouvant qu’il y a bien longtemps, cet animal vivait dans ce pays, le Brésil tout comme le bananier !
Pour eux la seul hypothèse plausible c’est qu’une « Île » grande comme un Continent aurait relié les Continents Africain et Américain, mais encore un fait beaucoup plus troublant
Tout ce que je vous écris en ce moment ne vient pas de moi, mais d’humains beaucoup plus érudits que moi.
L'Atlantique forme un grand bassin et est divisé en deux parties par une montagne sous-marine haute de plus de deux mille cinq cents mètres, la dorsale atlantique aussi appelée dorsale delphinienne. Le bassin occidental est en moyenne profond d'approximativement six mille cinq cents mètres et ainsi peut-être plus profond de deux mille mètres que la partie orientale de la dorsale atlantique, qui représente la ligne de fracture entre les continents d'où sort aujourd'hui encore du magma.
Les éruptions volcaniques sous-marines provoquent la formation de pierre-ponce qui par sa légèreté monte en surface et flotte et lors d’éruptions volcaniques intenses cette pierre-ponce peut se former d’un seul tenant perturbant même la navigation moderne. Les mouvements de vague de la mer érode la pierre-ponce en sable
Muck a démontré d’une façon particulièrement exacte de précision, « que justement d’après ses calculs la vitesse d’engloutissement de la grande île, l’Atlantide, était d'environ quatre à cinq centimètres par secondes qui la fit disparaître en 24 heures » Le déroulement de la catastrophe diluvienne concorde avec la description de Platon : tremblements de terre, inondations, fissurations de la terre, engloutissement du sol et enfoncement du fond de la mer.
On a vu nettement, lors de l'éruption du volcan insulaire relativement petit du Krakatoa en Indonésie en 1883, que les pierres ponces flottantes mettaient en péril la navigation, et l'empêchaient même parfois totalement, bien que la couche ne soit alors épaisse peut-être que de vingt-cinq centimètres. En se basant sur ces informations, Muck a calculé que l'épaisseur de la couche de pierres-ponces flottant dans l'océan après la catastrophe de l'Atlantide était de cent mètres. Platon confirme « la mer là-bas était impraticable . . ., il était impossible aux navires de la traverser, parce que la boue très épaisse l’empêchait ».
Même sur ce point, Platon décrit quelque chose d'inhabituel, mais c'est précisément à ces détails que l'on reconnaît le profond contenu de vérité de l'histoire. Tout simplement trop bien pour être inventée, et en harmonie avec nos connaissances les plus récentes !
Charles Berlitz et Otto Muck rapportent que l'on fait dans le fond marin auprès des Açores des découvertes caractéristiques qui devraient en fait se trouver à la surface de la Terre. Johannes Von Buttlar décrit dans son livre « La planète d’Adam » des découvertes correspondantes dans la région des Açores :
« Dans le cadre d’un projet de recherche accompli en 1973-1974 par l’université d’Halifax, des prélèvements par forage ont été effectués dans la dorsale média-atlantique, puis ont été analysés. Il apparut alors que la formation rocheuse actuellement située à huit cents mètres sous le niveau de la mer devait s'être formée autrefois au-dessus du niveau de la mer.
Les chercheurs suédois R. Mailaise et P. Kolbe avaient déjà fait en 1956 une découverte particulièrement intéressante. En effet, ils avaient réussi à identifier dans la dorsale atlantique à trois mille sept cents mètres de profondeur les vestiges de diatomées qui devaient avoir vécu il y a 10 000 à 12 000 ans dans des lacs d’eau douce. En 1998, le câble transatlantique dut être réparé à 750 km au nord des Açores. On s'aperçut, lors de la recherche de la coupure, que le fond marin consistait à cet endroit en vallées, sommets montagneux et rocs déchiquetés. Les prélèvements rocheux qui y avaient été faits à trois mille cent mètres de profondeur se révélèrent constitués de tachylite, verre basaltique. Mais comme la tachylite se forme exclusivement à pression atmosphérique, elle ne peut avoir été produite qu'au-dessus du niveau de la mer. En outre, la lave ne se décompose qu'après 15 000 ans, par conséquent la dorsale média-atlantique doit avoir été avant cette date une masse de terre. Cette théorie fut confirmée en 1977 par une expédition soviétique qui ramena au nord des Açores des blocs de roche - donc situés sur la surface terrestre - tirés de plus de deux mille mètres de profondeur »
Les actuelles îles des Açores sont les sommets montagneux de l'ancienne grande île de l'Atlantide. Platon n'a pas écrit à la première personne ce récit de l'Atlantide, et accuse de mensonge tous ceux qui veulent voir dans cette histoire un mythe. Socrate, le maître de Platon, constate dans le dialogue Timée : « . . . et en plus elle a le grand avantage de ne pas être un mythe inventé, mais une histoire vraie ». Les connaissances scientifiques actuelles confirment dans toute leur ampleur les indications géographiques et géologiques que Platon donne dans le récit sur l'Atlantide.
Réacteur atomique dans la nature
Dans une mine d'uranium à Oklo, au Gabon, on a trouvé en pleine nature du plutonium hautement radioactif. Or cet élément ne peut être produit artificiellement que par un bombardement neutronique - centrale nucléaire. En cherchant un peu plus l’origine de cette radioactivité ils trouvèrent un réacteur atomique. Les scientifiques qui se penchèrent sur cette trouvaille étonnante reconnaissent que dans la nature il ne peut pas y avoir de réaction en chaîne spontanée pour son refroidissement, mais pour que se déroule une réaction correspondante, il doit y avoir eu une énorme pression, telle que l'on ne peut en atteindre qu'à plus de dix mille mètres de profondeur. Le Déluge a sûrement détruit une centrale nucléaire, mais a aussi refroidit ce réacteur atomique.
Certains scientifiques sont convaincus que les humains antédiluviens métrisaient l’électricité, et avaient une science plus développée que la nôtre.
Je reviendrai sur ce thème dans peu de lignes !
L’humain est relativement jeune.
L’humain antédiluvien était de grande taille en comparaison de nous. Absolument !
En Italie fut découvert un squelette d’un homme qui devait mesurer trois mètres environ. L’homme contemporain le plus grand à été l’américain Robert Pershing Wadlow mort en 1940, dont la taille authentique était de 2,72 mètres.
Dans la Bible et dans l'épopée suméro-babylonienne de Gilgamesh, peut-être les écrits les plus anciens au monde après les « Livres d’Hénoch », on trouve souvent des mentions détaillées de géants censés avoir vécus avant le Déluge.
Vu la taille des pieds découvert à côté des empreintes de pas de dinosaures sur toute la surface de la Terre, il est raisonnable de penser que la taille moyenne de l’humain était d’environ trois mètres et surtout plus
Le Dr Dougherty a examiné pendant 10 ans la zone autour de Glen Rose, et la région de cette ville elle-même. Il a durant ce laps de temps documenté plus de 100 traces de pieds de dinosaures et 50 d'hommes, avec et sans empreintes de chaussure, ainsi que quelques autres découvertes curieuses. Les traces de pieds humains trouvées sont souvent très grandes et proviennent sûrement de personnes géantes. Le Dr Dougherty a trouvé une empreinte de pied d'une longueur de 54,61 cm et d'une largeur maximale de 20,32 cm dans la partie antérieure du pied.
Je reviendrai sur ces textes à l’écriture du Déluge et de la famille de Noé
Par l’histoire apprit à l’école, nous savons tous que beaucoup d’objets, même antédiluvien, furent découvert par des archéologues et des géologues. Le plus étonnant de ces objets, est peut-être ce marteau découvert à proximité de la petite ville de London au Texas dans la région de Paluxy River en 1934 par la famille Hahn.
Après un grand nombre d’examens circonstanciés par je ne sais combien d’Instituts de bonne renommée, ayant subi des visites par les microscopes électroniques les plus sophistiqués pour en connaître la structure et la composition, tous les scientifiques ayant participé à cet examen du marteau, reconnaissent leur ignorance.
En effet ils sont dans l’obligation d’accepter ces faits.
Le marteau a été façonné par des humains.
Qu’à l’époque de sa fabrication, la pression atmosphérique environnante n’était pas la même qu’aujourd’hui.
John Mackay, directeur du « Création Science Foundation » en Australie, avec d’autres experts américains ont émis la supposition que ces phénomènes à la surface du métal de ce marteau pourraient s'être formés sous une pression d'au moins deux atmosphères, avec protection simultanée contre le rayonnement ultraviolet, ce qui présuppose à vrai dire des conditions atmosphériques radicalement différentes des nôtres.
Aujourd’hui nous sommes dans l’incapacité de reproduire ce marteau car il est d’une dureté et pureté exceptionnelle et ne se corrode pas, en un mot ne rouille pas.
L’acier du marteau contient une haute teneur en chlore, ce qui est, dans nos aciéries modernes, totalement exclu. Cet outil ne peut provenir d’une fabrication moderne, donc il est impossible qu’il y ait supercherie.
Il reste une question : à quelle époque fut façonné ce marteau ?
En suivant l’étude géologique de la roche dans laquelle le marteau avec son manche fut soudainement emprisonné, l’équipe d’experts ainsi que John Maclay en déduisent que cet outil a un âge maximum de dix mille ans, voir sérieusement moins, mais est antédiluvien.
Tout ce que je viens d’écrire détruit la thèse de l’évolution, mais il y a encore plus convaincant.
Darwin écrit que l’évolution est une chaîne buissonnante ! …
Une chaîne buissonnante doit ressembler à un buisson, et pour moi un buisson est un amalgame de petits arbustes qui poussent dans tous les sens, se mélangeant, sans aucune règle, soit un fouillis de végétations.
Difficile de croire à l’Évolution au regard de l’harmonie de l’Humain, ce n’est pas une « chaîne de modifications buissonnante », ce n’est pas un enchevêtrement ?
Par contre Monsieur Lamarck, naturaliste {-biologiste -} « Français » avait constaté que la terre pouvait produire un nombre incalculable d’êtres vivants dans le monde des insectes et autres bestioles plus petites.
Darwin c’est servi des découvertes de Lamarck abusivement, en reportant celle-ci sur l’homme, … ce qui est absolument faux …, faisant sa fortune personnelle en lui donnant un « NOM » de biologiste complètement usurpé.
La confirmation, tous ces scientifiques, chercheurs, « Évolutionnistes », ne parlent que de l’homme !….
Pendant tout ce chapitre je vous ai écrit sur une Ile mystique, sur des découvertes étranges, qui malheureusement n’ont jamais fait la une des médias, voire même étouffées par les dirigeants religieux. Alors j’espère que ces écrits, vous les trouvez instructifs et qu’ils vous fortifient dans votre foi pour ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ
Portez-vous bien !
Salutations cordiales !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
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