Lp de qc, chap. N° 11 - Technologie thermonucléaire antédiluvienne
08/10/2017 16:36
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Au Pakistan et en Inde, dans la vallée de l’Indus, se trouvent les ruines de plusieurs cités antiques, détruites de façon brutale. Elles ne sont pas mentionnées dans l’histoire : nous pouvons en conclure qu’elles sont antérieures aux temps historiques. On les soupçonne d’être quelques-unes des cités Rishis du mythique empire de Rama. Les deux plus grandes villes sont aujourd’hui appelées Mohenjo-Dâro et Harappâ mais ces noms sont modernes. Chacune d’elles pouvait loger jusqu’à deux-cents mille habitants.
S’agirait-il des cités des Vrishis et des Andhakas ces trois villes détruites par Ghurka et sa foudre de fer ? Les archéologues ont découvert dans cette zone les restes d’une ville de la civilisation de la vallée du Thar comportant des traces d’explosion nucléaire survenue il y a plusieurs millénaires.
Il semble en tout cas que ces villes aient été détruites en un instant : sur la chaussée, les fouilles ont permis de découvrir des squelettes fauchés en pleine activité. Après des millénaires, ces squelettes sont encore aussi radioactifs qu’à Hiroshima. Cette radioactivité élevée a entraîné des problèmes sanitaires graves, si bien que le gouvernement indien a été contraint de fermer le site de fouilles et d’interdire la zone.
« C'est si contraignant d'imaginer qu'une civilisation ait eu la technologie nucléaire avant nous. La poussière radioactive crédibilise les enregistrements anciens qui décrivent des guerres atomiques. » ( Rusty James)
Le désert du Thar, d’une superficie de deux-cents mille kilomètres carrés, est appelé Mârusthali, « le Pays de la Mort » en Inde, et au Pakistan, il porte le nom de désert du Cholistan qui signifie « Mortelle »
Cette zone est devenue désertique entre neuf mille à huit mille ans avant l’EC ou J-C. À cette époque le fleuve Sarasvatî s’enfonçait dans le désert et ne laissait qu’un lit asséché qui réapparaissait au Pakistan
Sous le désert du Thar il n’y a pas que du pétrole et du charbon, il y a aussi la cinquième plus grande nappe phréatique d’eau douce du monde.
Technologie thermonucléaire antédiluvienne
Chapitre N°11
En 1921, des fouilles débutèrent à Harappa, cité Indienne du troisième millénaire, mais qui réellement est plutôt du huit et septième millénaire avant l’Ère Commune, l’EC., ou Jésus-Christ, J-C., avec les murs d’enceintes imposants, et les archéologues furent stupéfait de la complexité de l’urbanisme de cette ville qui s’étendait sur un périmètre de cent cinquante à deux cents hectares minimums, les habitations divisées en quartier avec une logique qui nous échappe, car il n’y a ni Temples, ni Palais, sauf des édifices étranges, divisés en bloc, susceptibles de porter une construction de bois. D’après l’archéologie cette civilisation était pointilleuse sur l’ordre, la propreté et l’hygiène, car les maisons possédaient salle de bain, latrine, un système de drainage des eaux usées et aussi l’équivalent de nos décharges publiques et industrielles ou l’on déposait les rebuts du travail des peaux, du cuivre, bronze, fer, gravas, etc …
En 1922, un archéologue indien qui cherchait les vestiges d’un ancien temple bouddhiste mis au jour à 640 km d’Harappa les ruines d’une civilisation protohistorique, c’est une véritable métropole qui sortit de terre, « Mohenjo-Daro », surnommée la « Colline des Morts », faisant toujours l’objet de recherches mais aussi de vives controverses.
Mais qui était cette civilisation restée si longtemps dans l’ombre ?
Malgré la connaissance de nos archéologues, paléontologues, géologues, nous n’avons, à ce jour, toujours pas déchiffré leur écriture, ainsi que leur langage
Une explosion mystérieuse et de proportion atomique apparaît dans la cité de Mohenjo-Daro, dont la rumeur prétend, depuis longtemps, qu'elle serait une des Sept cités de Rishi. De plus, les mythologies égyptienne et sumérienne parlent elles aussi de ces échanges nucléaires durant la guerre entre les dieux qui conduisaient chacun leur propre chariot flamboyant ?
Bien sûr, on a du mal à imaginer qu’à une époque aussi lointaine des armes nucléaires ont pu être utilisées. Le texte est troublant quand on le met en parallèle avec les dernières découvertes. Pourrait-il s’agir d’un phénomène naturel qui aurait provoqué un cataclysme ? L’épicentre du choc a été détecté au centre de la ville. A cet endroit, toutes les maisons ont été nivelées. A la périphérie, les destructions sont moins importantes.
L’énigme de Mohenjo-Daro reste entière pour le moment. Cependant, si l’on suppose qu’une catastrophe s’est abattue sur cette cité, cela n’explique pas l’abandon des autres villes. Mohenjo-Daro et Harappa sont les métropoles les plus connues mais il existait au moins trois autres villes aussi importantes. Il y en avait d’autres mais de moindre importance.
L’analyse moderne a confirmé que des fragments de la ville avaient fondu au contact d’une très haute température. Les douzaines de squelettes qui ont été trouvés dans la région de Mohenjo-Daro présentent une radioactivité excédant la norme de presque cinquante fois.
« Quand les fouilles de Mohenjo-Daro et Harappa parvinrent au niveau des rues, des squelettes éparpillés apparurent, souvent mains jointes et affalés dans les rues, comme frappés par une tragédie atroce et instantanée. Insistons : ces hommes gisaient simplement dans les rues, sans sépulture. Or, ces squelettes sont âgés, au dire même des archéologues les plus prudents, de milliers d'année ! Comment expliquer cela ? Pourquoi ces corps n'ont-ils ni pourri ni été dévorés par des animaux ? D'où vient qu'ils ne présentent aucune trace de mort violente ?
Ces squelettes sont parmi les plus radioactifs jamais trouvés, à égalité avec ceux de Nagasaki et d'Hiroshima. Des chercheurs russes ont notamment découvert un squelette présentant un taux de radioactivité cinquante fois supérieur à la normale. L'archéologue russe A. Gorbovsky a fait état dans Riddles of Ancient History, 1966, du haut niveau d'irradiation présenté par les squelettes. Des milliers d'objets fondus - baptisés « pierres noires » - ont également été trouvés à Mohenjo-Daro, qui semble être des fragments de récipients en terre soudés par une chaleur extrême. » ("La technologie des dieux" de David Childress)
Selon un article de la Pravda du 17 janvier 1994, les archéologues Davenport et Vincenti auraient découvert à Mohenjo-Daro des grosses strates comportant de l’argile et du sable fondu à haute température, transformés en verre de couleur verte, similaires aux traces d’explosion nucléaires du désert du Nevada après chaque tir.
Ce qui est le plus troublant dans ce dernier article, c’est qu’ils nous précisent, que les squelettes trouvés à Mohenjo-Daro avaient un taux de radioactivité cinquante fois supérieur à la normale …
Exactement, la dose de radiations du Gobi …
Davenport et Vincenti sont des archéologues et pas des physiciens …Ils n’avaient aucune raison de rapprocher ce taux de celui du Gobi, probablement pas inconnu à l’époque, mais certainement tenu secret …Il n’y a que quelques petites années, même pas 10 ans, qu’internet est totalement ouvert et permet de tout connaître, ou presque …
Et ce ne peut être un nombre donné au hasard, car même si ce sont des archéologues et pas des physiciens ils restent tout de même des scientifiques …Et ils n’auraient jamais inventé un taux représentant une explosion unique aussi puissante que vingt fois toute la radioactivité émise par la terre entière pendant un an.
Ce site constitue un véritable mystère, affirment les archéologues, qui auraient juré, avant la découverte de Mohenjo-Daro, qu’aucune véritable civilisation n’avait pu exister dans la vallée de l’Indus, au Pakistan, il y a environ dix à huit mille ans. Depuis 1921, une succession de découvertes dont la cité d’Harappa puis celle de Mohenjo-Daro ont prouvé l’existence d’une culture jusqu’alors inconnue.
Mohenjo-Daro, cité antédiluvienne, de la protohistoire dont les radiations atomiques sont cinquante fois supérieures à la normal obligeant le gouvernement Hindou à fermer les fouilles par contre cette citée est très bien conçue. On peut la comparer aux grandes villes américaines. D’ailleurs, les archéologues ont surnommé cette cité « le Manhattan de l’âge de bronze » qui est quand même plus jolie que la « Colline de la Mort »
Dans beaucoup de région sont découvert des artéfacts et pour expliquer la présence de ces artefacts, une hypothèse : ils ont été fabriqués par une civilisation avancée, détruite par une catastrophe naturelle ou technologique bien avant notre propre genèse, car on en a trouvé en Amérique du Nord, du Sud, en Grande-Bretagne et partout en Europe, en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient.
Parmi ces indices, il en est un qui relève d’une technologie préhistorique de pointe qui aurait détruit son berceau culturel : les traces à jamais silencieuses mais révélatrices, de guerres nucléaires.
« Je veux bien croire que certaines zones ont été vitrifiées par le souffle chaud de météorites, mais je ne pense pas que l’on puisse attribuer à ce phénomène naturel les quelques vingt-huit étendues de roches pulvérisées et noircies qui couvrent chacune des surfaces de l’ordre de 18000 km2 en Arabie occidentale. Ces pierres aux bords tranchants sont rassemblées comme les vestiges de cités. Les experts ont établi qu’elles n’étaient pas d’origine volcanique, mais semblaient dater d’une époque où l’Arabie était un pays fertile et luxuriant avant d’être soudainement calciné à l’état de désert. » B Emeric David
Nous savons aujourd’hui que le Sahara a été une zone tropicale à la végétation abondante, très pluvieuse et sillonnée de grandes rivières. Les scientifiques ont découvert des zones où des terres jadis cultivées sont aujourd’hui couvertes d’une couche de sable formant les déserts, et dessous ce sable, à plusieurs mètres ce même sable vitrifié sur une fine couche d’une couleur verdâtre sur des kilomètres. Des chercheurs ont aussi trouvé une énorme réserve d’eau sous ces déserts. Celle-ci ne peut être que le résultat de pluies abondantes ayant précédé la dévastation par le feu.
Le 25 décembre 2007, un scientifique français effectuant des fouilles dans la région de Khamis Bani Sa’ad dans le district de Tehema, province de Hodeidah, au Yémen, confirma que des pièces archéologiques trouvées sur place dataient de dix mille ans et moins av. J.-C. Avant la survenue d’un changement radical de climat, les habitants étaient des pêcheurs et avaient domestiqué certains animaux actuellement disparus de cette région, dont une espèce de cheval que l’on ne trouve plus qu’en Asie Centrale.
La Chine maoïste a effectué près du lac de Lob Nor, dans le désert de Gobi, des essais nucléaires qui ont laissé de grandes plaques de sable vitrifié. Mais il y a aussi dans ce désert un certain nombre de traces similaires vieilles de milliers d’années.
En mission avec une équipe en Afrique centrale, Albion W. Hart, un des premiers ingénieurs diplômés du Massachusetts Institute of Technology, cherchant à atteindre une région quasi inaccessible, dut traverser une grande étendue désertique. Stupéfait, il découvrit une vaste zone vitrifiée verte qui couvrait le sable à perte de vue et qu’il fut incapable d’expliquer. Or, dans Rocks and Minerais (n°396, 1972), Margarethe Casson écrit :
« Plus tard dans sa vie, Hart, traversa la région de White Sands, côté Nevada, après les premières explosions atomiques et reconnut le même type de fusion de silice que ce qu’il avait vu en Afrique cinquante ans plus tôt ».
En 1947, des fouilles effectuées dans la vallée de l’Euphrate, au sud de l’Irak — lieu où certaines traditions situent le Jardin d’Éden et où les anciens habitants de Sumer rencontrèrent l’homme-dieu Ea — mirent au jour une couche de verre vitrifié de couleur verte, les archéologues ne purent que relever la ressemblance de cette matière, vieille de plusieurs milliers d’années, avec celle gisant sur le sol désertique de White Sands, au Nouveau-Mexique, après les premiers essais nucléaires des temps modernes.
Un certain nombre d’éléments récemment découverts indiquent que des changements cataclysmiques de la croûte terrestre ont pu entraîner la disparition quasi complète de mondes préhistoriques. Les indices géologiques montrent que ces changements, aussi soudains que profonds, pourraient avoir submergé et anéanti d’anciens peuples et leurs cultures.
De larges zones de verre coulé de couleur verte et des cités vitrifiées sont apparues dans des fouilles archéologiques : à Pierrelatte du Gabon, dans la vallée de l’Euphrate, dans les déserts du Sahara, de Gobi, de Mojave, en Écosse, dans l’Ancien et le Moyen Empire d’Égypte, et au centre-sud de la Turquie.
Des voyageurs qui s’étaient aventurés au cœur des forêts indiennes ont trouvés les ruines de cités dont les murs, sous l’effet de la chaleur, étaient devenus d’immenses dalles de cristal. Les ruines des Sept Cités, dans la province de Piaui, près de l’équateur, au Brésil, offrent un spectacle d’un monstrueux chaos. Aucune explication géologique n’a encore été proposée par les archéologues dont certains, au vu des pierres calcinées, détruites et fondues, ont évoqué Sodome et Gomorrhe
. Enfin, signalons de grandes surfaces circulaires ou polygonales de matière dure ressemblant à du verre opaque dans le désert de Mojave, en Californie. Les traces profondes d’un feu intense En 1850, William Walker explorant la Death Valley déclara y avoir trouvé une cité en ruine. Parmi les débris, les pierres de l’extrémité d’un grand édifice avaient été fondues et vitrifiées. Walker ajouta que la région entière entre la rivière Gila et St John était parsemée de vestiges montrant des traces d’échauffement si intense que la pierre en avait fondu. Des dallages et des maisons de pierre portaient de larges fissures témoignant d’un éclatement par le feu.
Les cités et les forteresses vitrifiées découvertes par Walker m’intriguent encore plus que les surfaces de verre coulé verdâtres. Les maçonneries de certains forts et tours sur des collines d’Écosse, d’Irlande et d’Angleterre ont été calcinées par des températures infiniment plus élevées que celle de la foudre. D’autres forteresses perchées, depuis les îles de Lofoten, au large de la Norvège, jusqu’aux Canaries, au large de l’Afrique, sont devenue des « fortins fondus » ; selon les termes d’Erich A. von Fange, « les blocs empilés de leurs murs circulaires ont été transformés en verre… par une intense chaleur ». On croyait que Catal Hüyük était l’une des plus anciennes cités du monde, mais des vestiges archéologiques révèlent qu’après un développement civilisé, elle s’est brusquement éteinte.
Les archéologues ont découvert avec surprise d’épaisses couches de briques calcinées. Les éléments de construction avaient été coulés l’un sur l’autre par une chaleur qui avait pénétré à plus d’un mètre sous le sol et carbonisé la terre, les ossements de personnes inhumées et les offrandes enterrées avec elles ; la décomposition bactérienne en avait été interrompue. On a mis au jour un grand ziggourat babylonien fendu jusqu’aux fondations comme s’il avait subi un feu très intense. Dans d’autres parties des ruines, des pans de maçonnerie étaient vitrifiés et partiellement réduits en masses fondues, ainsi que certains blocs isolés à proximité des ruines.
A Pierrelatte du Gabon, des chercheurs du CEA, -- Commissariat à l’Énergie Atomique. -- ont trouvé en 1972 les traces d’une réaction nucléaire spontanée dans la carrière d’uranium d’Oklo. Les scientifiques se sont aperçus que le minerai contenait une proportion anormalement basse d’U235, tel celui que l’on trouve dans le carburant d’uranium appauvri issu de réacteurs atomiques. Le minerai contenait aussi quatre éléments rares typiques de l’uranium appauvri.
Le 25 septembre 1972, l’administrateur de CEA, André Giraud, annonce qu’un réacteur nucléaire vieux de deux milliards d’années a été découvert sur le site de la mine d’uranium d’Oklo.
Anguille sous roche, le réacteur nucléaire d’Oklo, réacteur atomique dont je vous ai déjà parlé, a rajeuni brusquement et sa vieillesse ne dépasse pas dix mille ans, et de sources scientifiques certaines serait même plus jeune mais est antédiluvien, bizarre, bizarre, voire étrange ! … !
À notre époque, des matériaux de cette nature ne sont connus que sur des sites d’essais nucléaires où le sable a été vitrifié par la chaleur. L’éventualité de guerres nucléaires préhistoriques est un constat très dérangeant pour certains.
Mais d’autre part, des scientifiques ont trouvé des gisements d’uranium qui semblent avoir été minés et exploités dans l’antiquité.
S’il se confirme qu’en des temps reculés des civilisations ont connu l’anéantissement atomique, peut-être y a-t-il urgence à ce que nous comprenions vraiment nos comportements !
En résumé, alors que le monde moderne n’a pas connu la puissance de l’atome avant les années 40, une étonnante quantité d’indices témoignent d’effets nucléaires remontant à la préhistoire : sables des déserts parsemés de verre, murs de pierres vitrifiés de certains forts, antiques cités détruites apparemment par une chaleur intense, tout cela bien hors de portée des moyens et des feux d’armées primitives
Schéma de la bombe d’Hiroshima et de Nagasaki
1. Ailerons stabilisateurs
2. Cône de queue
3. Entrée d'air
4. Détonateur par pression
5. Conteneur en plomb – protection --
6. Bras du détonateur
7. Tête du détonateur
8. Charge explosive – cordite --
9. Projectile en uranium 235
10. Cylindre du canon
11. Cible en uranium 235 avec réceptacle, le réflecteur de neutrons se trouve à son sommet
12. Sondes pour la télémétrie – altimètre --
13. Fusibles d'armement de la bombe -- insérés peu avant le largage --
Je reviens maintenant au spirituel puisque depuis deux, trois chapitres j’ai développé le scientifique en priorité avec un peu de spirituel.
Si nous suivons la Bible, et que nous considérons les textes comme véridiques, nous croyons en un Être supérieur à l’humain, puisque nous sommes façonné à sa ressemblance, son reflet, comme dans une glace qui nous rejette notre image, d’une beauté sans égale, d’une intelligence phénoménale, d’une instruction incommensurable, lui le Créateur de tout ce qui vit, et tout vit, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, car la terre de la Terre respire, la mer respire, ou plus exactement l’eau respire, en un mot tout ce qu’il y a sur et sous la terre, dans les aires, dans les mers, respire
EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique créa en premier l’Univers puis la Voie Lactée avec sa Galaxie, « Terre » et son luminaire « Soleil », l’astre qui éclairerait et chaufferait toutes les planètes attirées par lui le tout formant cette Galaxie avec son « Firmament », et le commencement de ses « Cieux ». La Bible dit très rapidement que tout fut créé et façonné en six jours, mais combien de temps dure un jour sachant que l’Univers a des milliards de milliards de nos années, que la Galaxie « Terre » est relativement jeune, voire très jeune d’après certains géologues, quelques millièmes de milliards de nos années, quant aux animaux difficile à dire, sachant qu’ils ont été sur Terre bien avant l’humain, mais que des espèces ont complètement disparue pour un même nombre qui naissaient, l’équilibre de la nature, et l’espèce humaine est apparue qui a tout déréglée cette stabilité, cette harmonie. Et avant les animaux Il créa la végétation avec ses lois de reproduction selon l’espèce et le genre, mais il ne faut pas oublier que la première « Terre », celle avant le « Déluge », était comme une serre, Genèse II : 5-6, « EL-SHADDAÏ n’avait pas fait pleuvoir sur la terre, toutefois un flot montait de la terre et arrosait la surface du sol » la différence de température entre l’équateur et les pôles n’excédait pas une vingtaine de degré centigrade, mais tout cela je vous l’ai déjà écrit.
Les géologues avec les archéologues ont déterré précieusement, minutieusement des squelettes humains des deux sexes dans leur position initiale, dans les rues de la ville protohistorique de Mohenjo-Daro, et dans d’autres vestiges sur la surface du globe, dont la grandeur était entre trois et quatre mètres. Ceci était la taille normale des humains de l’ère antédiluvienne et la mesure d’une coudée, est la longueur qui existe entre l’os du coude et le bout du doigt majeur de la main soit environ cent dix, cent vingt centimètres (110-120cm)
Selon la Bible un jour serait égal à mille ans ; alors essayons de raisonner avec sagesse et discernement ; scientifiquement il est prouvé que l’Univers existe depuis des milliards de milliards d’année ; l’auteur de la Bible est plutôt brouillon car dans ses exposés de jour beaucoup de chose sont impossible, exemple le quatrième jour devrait être le deuxième. Pour moi l’Univers existe ainsi que la Voie Lactée. Dans cette voie la Galaxie Terre n’est pas formée Je reprendrai ce thème dans le prochain chapitre
Genèses VI : 1-& suiv. « Les patriarches se succèdent, Adam engendra Seth qui engendra Énosh, qui engendra Quénâm, qui engendra Mahalaël, qui engendra Yered, qui engendra Hénoch et cet humain marcha avec EL-SHADDAÏ, qui l’appela son « Scribe de Justice », qui engendra Mathusalem le patriarche qui vécut le plus vieux de la planète Terre, qui engendra Lamech, qui engendra Noa dit Noé dans la Bible, quand Noé termina l’Arche tous les Patriarches étaient décédés »
A l’ère de Mahalaël, mais surtout de Yered EL-SHADDAÏ envoya des Veilleurs sur la Terre pour apprendre aux humains la justice et l’équité. « Dans ses jours de Yered, les anges du Seigneur descendirent sur la terre, ceux qu'on appelle les Veilleurs, afin d'apprendre aux enfants des hommes à pratiquer le droit et l'équité sur la terre. » Les Anges du mal que l’on nommait des « Daimonts » étaient ces Anges partisans de Sammaël et qui allaient vers les humains, qui n’oublions pas étaient presque parfait en dehors de cette tare génétique de la mort puisqu’ils vivaient jusqu’à neuf cents ans et plus sans atteindre les mille ans, pour leur apprendre les mauvaises choses qu’ils retransmettaient à leur progéniture, c’est comme cela que les humains devenaient de plus en plus mauvais.
Parmi ces « Daimonts » il y en a qui trouvaient les filles des humains très belles et ils voulurent s’accoupler avec pour avoir des enfants, alors ils allèrent demander l’autorisation à leur chef qui était le Prince Semyaza. Ils furent deux cents par groupe de dix avec leur chef et ils s’éparpillèrent sur toute la Terre. Sur toute la Terre ils choisirent les filles des hommes et s’apparièrent pour avoir une progéniture.
Mais les Veilleurs d’EL-SHADDAÏ qui aurait dû être intègre, eux aussi trouvèrent les filles des hommes très belles et ils s’unirent à elle et eurent un lignage de géant. Tous ces Êtres gigantesques enseignèrent aux humains une technologie très avancée ; comment trouver les minerais d’uranium, et comment se servir de ce minerai pour façonner les centrales électriques, les piles atomiques, les bombes nucléaires, mais aussi la technologie des armes nucléaires avec des avions de chasse dix fois plus sophistiqués que nos meilleurs avions modernes. Il a été prouvé par les géologues, archéologues et paléontologues que les humains antédiluviens se déplaçaient d’une capitale à l’autre avec des aéronefs d’une rapidité que nous ne connaissons pas. Toujours par les mêmes scientifiques nous apprenons que ces humains antédiluviens parlaient un même langage sur toute la Terre et leur technologie en armement était très supérieur à la nôtre puisqu’ils pouvaient détruire une armée complète avec un rayon laser. Je vais revenir sur ce thème dans le prochain chapitre
Quand nous regardons en un siècle ce que l’humain a inventé, a façonné au point de faire des bombes nucléaires atomiques, à hydrogène, bombe H, à neutron, mais aussi des fusées pour emmener des humains sur la « Lune », et ces derniers marchèrent dessus le 21 Juillet 1969, des avions supersoniques comme le « Concorde » alors qu’il ne se sert que de douze pourcent de son cerveau, dix-huit pourcent maximum pour ces scientifiques qui inventèrent tout ce que je viens de citer, alors pensez à ces humains qui étaient parfait à quatre-vingt-dix-huit pourcent, ce qu’ils ont pu inventer, fabriquer, eux qui vivaient neuf-cents ans en moyenne ?
A bien y réfléchir que nous sommes petits devant nos ancêtres ?
Ne faisons pas comme ces humains antédiluviens, aimons, adorons ce Dieu seul et unique et suivons ces Lois de justice qu’il nous a enseigné ainsi que son Fils unique, Jésus le Nazôréen, qui n’est pas un Dieu, confirmation dans l’évangile de Jean XX : 17, et qui nous a donné un enseignement d’amour en aimant notre prochain comme nous-mêmes !
Portez-vous bien ! Prenez soins de vous, de votre maisonnée !
Salutations cordiales à Tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
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