La Pâque, chap. N° 1 - Alliances entre l'humain et un Dieu
07/03/2018 15:35Fêtes Chrétiennes les Pâques
Fête d’EL SHADDAÏ la Pâque
Chapitre N° 1
Alliances entre l’humain et un Dieu
Nous sommes le premier jour du mois de Mars, et le Samedi 31 « entre Les Deux Soirs » après le coucher du soleil et la nuit noire nous, « Enfants d’EL-SHADDAÏ » nous fêterons « la Pâque » la seule fête que ce Dieu seul et unique nous demande de respecter et non « les Pâques » comme le christianisme demande à ses ouailles de célébrer avec les « Œufs », « Cloches », « Lapins », qui est l’ancienne fête « Babylonienne »
La Pâque, la seule fête qui existe depuis qu’EL-SHADDAÏ dévoilât à Hénoch le parcours elliptique, dans un temps donné, soit une année complète autour du soleil de la Terre dans le cosmos ainsi que la rotation sur elle-même et l’oscillation de cette dernière sur son axe, provoquant les saisons telle que nous les connaissons.
Les humains antédiluviens connaissaient très peu les saisons la Planète Terre étant enveloppée d’une épaisse couche de nuée ce qui faisait que l’on voyait le soleil a travers les nuages comme nous le regardons en hiver un jour de brouillard. Comme déjà écrit, Genèse II : 5-6 « il ne pleuvait pas sur la Planète Terre, toute fois un flot montait de la terre et l’arrosait ». La Terre était comme une serre voilà pourquoi tout ce qui y vivait était fort et abondant surtout la végétation car elle nourrissait tous les êtres vivants, animaux et humains. De plus l’oscillant terrestre était moindre. Scientifiquement il est prouvé que le « Déluge » interplanétaire a changé la polarité terrestre ainsi que le basculement sur son axe de 23°, soit un total de 46° entre les solstices
Bien avant que le peuple Hébreu ne soit connu des humains, l’Être Suprême expliquât à Hénoch, par l’intermédiaire de l’Ange Ouriel, le fonctionnement des « Saisons », l’Équinoxe du printemps pour les semailles et celui de septembre pour les récoltes, et les Solstices, celui de l’été avec les jours les plus longs, donc nuits très courtes, et celui de l’hiver avec son contraire, les nuits les plus longues et les jours les plus courts. Beaucoup d’humains vivaient de l’élevage du petit bétail et de basse-cour, et de l’agriculture, l’artisanat en général était pour un petit nombre d’humain tel que le forgeron, charpentier, tailleur de pierre, etc.
Les « Livres » d’Hénoch Patriarche antédiluvien étaient prophétiques puisqu’ils expliquaient le fonctionnement des « Saisons » avec le temps des semailles et le temps des récoltes
Après le « Déluge » l’humanité est repartie avec une centaine d’êtres humains et trois-cent-quarante ans après les humains étaient de neuf-cent-quatorze-mille cent hommes de pieds sans compter femmes, enfants, vieillards et sur les Lois Noachides tous vivaient en parfaite harmonie.
Cinq années après la sortie de l’Arche, grâce aux Livres d’Hénoch les humains comprenaient le fonctionnement des saisons. Le début de l’année avec l’alignement de certaines étoiles avec la Terre, la Lune, Vénus, Mars, Saturne, mais je n’écrirai pas trop dans ce domaine étant « un âne un vrai car je ne comprends rien et je mérite le « bonnet » »
Noé vient de décédé, les humains avaient gardé jalousement les écrits, dessins, matériaux et matériels antédiluviens qu’ils retransmettaient à leurs descendances, tout ce qu’ils avaient connu avant avec le modernisme de l’époque. Ces humains vivaient maintenant en moyenne six-cents ans et ceux qui sont nés trois, quatre décennies après le « Déluge » vivent en moyenne entre cinq cents et quatre cents ans.
Il n’y a plus Noé pour sévir alors les humains commence à manger des animaux étouffés, avec leur sang, puis ils se créent des « Dieux » pour tous oubliant EL-SHADDAÏ. Ils ont divisé l’année en deux périodes, la sombre dédié au « Mal » et la claire consacrée au « Bien » et de l’astre chaud ils en font un « Dieu » femelle et de la « Lune » un « Dieu » mâle.
Au printemps les hommes offraient aux Dieux un animal de leur élevage et avec le sang de celui-ci ils badigeonnaient les pourtours de l’entrée de la tente, ou les linteaux de l’étable pour se protéger des mauvais « Esprits » et avoir la faveur des Dieux pour que la saison soit bonne. Les agriculteurs, eux façonnaient des espèces de galette avec différentes farines, sans mettre de levain, nommée pain azyme, en offrande pour les Dieux pour la même raison que les éleveurs.
Cette période de fête se nommait la Pâque.
Cette fête de la Pâque avait un nom différent selon la langue, le dialecte du clan ou de la tribu ou encore du peuple, mais le résultat était le même puisque cette fête se faisait toujours à la même époque.
Le mot « hébreu » qui vient d’un très vieil araméen serait la langue sacrée d’EL-SHADDAÏ d’avant la « Confusion » à la Tour de Babel, la seule langue qui existait à l’époque et qui fut éradiquer au moment du changement d’aspect des humains et de leur langage. Seul un petit nombre de juste gardât cette langue qui disparut quand même avec le temps. La légende veut que ce soit EL-SHADDAÏ qui remit cette langue dans la bouche d’Abraham.
Ce sont les humains de l’époque qui donnèrent le nom « d’Hébreux » au clan de Térah, père d’Abraham car il signifiait « Ceux qui passent ». En effet ils se déplaçaient beaucoup pour faire paître leur immense troupeau de bovins, caprins, ovins.
N’oublions pas que l’humanisation de la Terre est partie du plateau du Mont Loubard en Anatolie --- Turquie d’aujourd’hui --- qui faisait partie des montagnes Ararat où le Tigre et l’Euphrate prennent leur source. Ces deux grands fleuves se jettent dans le Golfe Persique. Toute cette région entre ces deux fleuves était très fertile. Ce sera la Mésopotamie.
Nous ne sommes peut-être pas à l’ère d’Abram, mais sûrement à celle de ces géniteurs.
Faisons un peu d’histoire antique, --- une Légende ---
« Dumuzi en sumérien ou Tammuz en babylonien est un Dieu-pasteur mésopotamien, ainsi que le Dieu de la fertilité dans la religion babylonienne. C’est un berger-Roi uni à Ishtar, qui se prononce « Easter », déesse mythologique hermaphrodite, qui possède les deux sexes, babylonienne de l’amour physique et de la guerre, d’une renommée culturelle jamais égalée. Elle portera le nom de Inanna en sumérien, Aphrodite en Grèce, Turan en Étrurie, Vénus à Rome, Isis chez les Égyptiens, Astarté en Ougarit, Ashtoreth, chez les Palestiniens, Shaushka chez les Hourrites, Ashtart en langue punico-phénicienne, etc.
Un récit mythologique oppose Tammuz ou Dumuzi à Enkimdu, dieu des agriculteurs, auquel il dispute les faveurs de la déesse Inanna, qui finit par le choisir. Cela reprend les conflits entre agriculteurs et pasteurs.
Dans une autre légende, la Descente d'Inanna ou Ishtar aux Enfers, il est choisi par sa parèdre pour la remplacer aux Enfers. Il est donc mort, et est alors considéré comme une divinité infernale. Il se fait cependant remplacer une moitié de l'année par sa sœur Geshtinanna.
Le retour de Dumuzi ou Tammuz sur terre est vu comme le début du renouveau de la nature. Cela est notamment marqué dans les rituels mésopotamiens par le Mariage sacré Hiérogamie, dans lequel les rois sumériens interprétant Dumuzi, s'unissaient rituellement à la déesse Inanna, pour marquer le retour du printemps.
Inanna ou Ishtar en Akkadien, Babylonien est considérée comme la fille du dieu ciel An ou Anu en Akkadien. »
Nous pourrions dire que les événements décrits ci-dessus constituent, dans un certain sens, la fête de Pâques.
À l'origine, il existait deux fêtes pour célébrer le printemps.
Le « Hag Ha-Pessah » : fête de l'agneau pascal. C'est une fête pastorale dont l'origine remonte au temps où le peuple hébreu était un peuple de nomades. Nous pouvons remonter jusqu'à l’ère du père, Térah, voir du grand-père, Nak-hor d’Abram dit Abraham.
Le mot « pâque » désignait ainsi la fête et aussi l'animal que l'on sacrifiait et que l'on mangeait. ---pastorale, agneau --- Ce sacrifice était encore pratiqué au temps de Jésus mais ne l'est plus depuis la destruction du second temple de Jérusalem en 70 de J-C. ou EC. (Ère Commune)
Le « Hag Ha-Matsoth » : fête du « Pain sans levain », est une fête agricole célébrée par un peuple sédentaire au début de la moisson. Le « Pain sans levain » porte aussi le nom de pain azyme.
Pâque est bien considérée comme la fête du renouveau.
La Pâque juive -- Pessah en hébreu, le sacrifice de printemps -- a pour origine une fête des bergers nomades et une fête agricole, la fête des Azymes, les Pains sans levain.
Par la suite cette fête, La Pâque, commémorera la libération du peuple juif de l’esclavage qu’il subissait en Égypte. Le mot Pessah signifie « passage ». Il désigne le passage « d’EL-SHADDAÏ » qui frappa les maisons des égyptiens et épargna les israélites. Ce mot commémore aussi le passage de la Mer Rouge, nommé aussi la Mer des Roseaux.
Encyclopédie juive :
« La Pâque juive, également appelée Zman Heroutenou, -- Le Temps de notre liberté --, Hag HaMatzot -- la fête des azymes --, ou Hag HaAviv -- la fête du printemps ou fête du blé chez les Karaïtes --, est une fête juive de sept jours -- huit jours en dehors de la terre d’Israël. -- Elle commémore l’Exode des Hébreux hors d’Égypte. Ainsi que le décrit le Livre de l’Exode, Pessa’h marque la « naissance » des enfants d’Israël, dont est issu le peuple Juif, les ancêtres des Juifs ayant été libérés du joug pharaonique et désormais libres de suivre les voies et prescriptions d’EL-SHADDAÏ. »
Térah père d’Abram de Na-Hors et Hârân vivait à Ur ville à côté de Babylone, mais c’était un nomade et il faisait paître ces troupeaux importants d’ovins, caprins et un peu de bovins dans les plaines fertiles du Tigre et de l’Euphrate. Térah voulut monter à la ville d’Harân pour vénérer le Dieu « Sîn » nom donné à la Lune. Donc tout le clan suivit les directives de leur père et ils montèrent dans les montagnes près de la source de l’Euphrate.
Abram ne suivait pas l’esprit religieux de son père et de ses frères car ils avaient un « dieu » différent pour toutes les actions différentes, un pour la fécondation, un autre pour leur protection dans les montagnes, un autre pour la fécondité des animaux, un autre pour les semailles, enfin il y avait un « dieu » pour tout. Abram ne comprend pas ses frères avec tous leurs « Dieux » car pour lui il en existe un seul, mais il ne sait pas comment le trouver !
Abram garde ces troupeaux de brebis, moutons, et chèvres dans les montagnes de la chaine Ararat au-dessus d’Harân. Il est seul quand il entend quelqu’un l’interpeller, Genèse XII : 1-4, « EL-SHADDAÏ dit à Abram :
« Quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père, pour le pays que je t'indiquerai. Je ferai de toi un grand peuple, je te bénirai, je magnifierai ton nom; sois une bénédiction ! Je bénirai ceux qui te béniront, je réprouverai ceux qui te maudiront. Par toi se béniront tous les clans de la terre ».
Abram partit, comme lui avait dit Yahvé, et Lot partit avec lui. Abram avait soixante-quinze ans lorsqu'il quitta Harân »
Je réitère ce que je vous ai déjà écrit plusieurs fois. Dans tous mes écrits je change le terme « Dieu » par son nom abrahamique « Dieu au-dessus des Montagnes » soit « EL-SHADDAÏ », mais je le fais aussi pour les écritures hébraïques pour enlever toute connotation religieuse définie donc le mot « Yahvé » sera remplacer par le terme EL-SHADDAÏ, sauf impératif qui viendrai à changer le sens de la phrase.
Quand Abram entend cette voix, intérieurement, dans son cœur, c’est le « Dieu » qu’il cherche qui lui parle, il cherche pour le voir, pour le représenter, mais il ne voit rien, il ne connait même pas son nom, alors il le nommera « Dieu au-dessus des Montagnes », soit « EL-SHADDAÏ ». Abram a soixante quinze ans et toujours pas de descendance, Saraï son épouse est stérile
Saraï par amour pour son époux offrit sa servante, afin qu’il eut une descendance. En effet elle engendra un fils qu’Abram nomma Ismaël ; il était âgé de quatre-vingt-six ans à la naissance d’Ismaël
« Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, Yahvé lui apparut et lui dit : « Je suis EL SHADDAÏ, marche en ma présence et sois parfait » » Genèse XVII : 1
Puis ce Dieu Très Haut conclu une alliance avec Abram. D’après la conception antique le nom d’un être ne le désigne pas seulement, il détermine sa nature. Un changement de nom marque donc un changement de destinée. En fait Abram et Abraham semblent être deux formes dialectales du même nom et signifier également : « Il est grand quant à son père, il est de noble lignée ». Mais Abraham est expliqué ici par l’assonance avec -ab hamôn- « père de multitude »
Genèse XVII : 5-7, « Et l'on ne t'appellera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d'une multitude de nations. Je te rendrai extrêmement fécond, de toi je ferai des nations, et des rois sortiront de toi. J'établirai mon alliance entre moi et toi, et ta race après toi, de génération en génération, une alliance perpétuelle, pour être ton Dieu et celui de ta race après toi »
Genèse XVII : 9-11, 17, 19, 21
« EL-SHADDAÏ dit à Abraham :
« Et toi, tu observeras mon alliance, toi et ta race après toi, de génération en génération.
Et voici mon alliance qui sera observée entre moi et vous, c'est-à-dire ta race après toi : que tous vos mâles soient circoncis.
Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous. » »
« Abraham tomba la face contre terre, et il se mit à rire car il se disait en lui-même :
« Un fils naîtra-t-il à un homme de cent ans, et Sara qui a quatre-vingt-dix ans va-t-elle enfanter ? »
« Mais EL-SHADDAÏ reprit :
« Non, mais ta femme Sara te donnera un fils, tu l'appelleras Isaac, j'établirai mon alliance avec lui, comme une alliance perpétuelle, pour être son Dieu et celui de sa race après lui. »
« Mais mon alliance, je l'établirai avec Isaac, que va t'enfanter Sara, l'an prochain à cette saison. » »
Seconde « Alliance » biblique, la première était entre le seul et unique Dieu de tout l’Univers avec la race humaine : Ce Dieu seul et unique qu’Abraham nommait « EL SHADDAÏ » affirmait qu’il ne déclencherait plus de « Déluge Planétaire » à cause de l’humain en détruisant toute chair vivante sur la surface de la Terre et pour se souvenir il étendra son Arc dans la nué, qu’il verrait du haut des Cieux et visible par les humains sur la terre, et la seconde « Alliance » l’Être Suprême la faite avec un humain, un seul humain qui le cherchait, « Lui », le véritable « Dieu », le seul Dieu de l’Univers, puisque moi-même en cette fin du XXème siècle je l’ai cherché et je l’ai trouvé étrangement grâce à mon chien, un Beauceron, fidèle compagnon de vie, que j’ai toujours en mémoire, car c’est par lui que j’ai connu le véritable Dieu de l’Univers, notre créateur, notre Père, qui involontairement m’a prouvé qu’EL SHADDAÏ existait et qu’il écoutait nos prières, oui sans lui je n’aurai jamais connu le Dieu d’Abraham, moi qui fut baptisé chrétien, qui est fait ma communion solennelle, qui fut hébergé par des Abbés, Moines et Curés pendant presque une année, là, où j’ai appris beaucoup sur la religion chrétienne et c’est grâce à eux que je me suis aperçu que ce n’était pas le vrai Dieu, mais un Dieu idolâtre. Voilà pourquoi aujourd’hui j’écris sur ce que je connais car le véritable Dieu je l’ai cherché pendant plusieurs décennies et je certifie vous ne le trouvez que par le cœur et l’esprit avec sincérité sans arrières pensées, honnêtement, il vient à vous, un pas vers Lui, il en fait dix vers vous, cela aussi je l’atteste en ce XXIeme siècle.
Je reviens à cette deuxième alliance faite avec Abraham un humain et un Dieu qui devait être visible par toutes les autres Nations, tous les autres Peuples, Genèse XVII : 9-13
« EL SHADDAÏ dit à Abraham : « Et toi, tu observeras mon alliance, toi et ta race après toi, de génération en génération Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous
Quand ils auront huit jours, tous vos mâles seront circoncis, de génération en génération. Qu'il soit né dans la maison ou acheté à prix d'argent à quelque étranger qui n'est pas de ta race, on devra circoncire celui qui est né dans la maison et celui qui est acheté à prix d'argent. Mon alliance sera marquée dans votre chair comme une alliance perpétuelle. » »
Comme Abram devient le père d’une multitude et se fait appeler Abraham, son épouse aussi, Genèse XVII : 15, « EL SHADDAÏ dit à Abraham : « Ta femme Saraï, tu ne l'appelleras plus Saraï, mais son nom est Sara. » »
L’Être Suprême promet à Abraham qu’il aura une descendance directe Sara, la Bible en Genèse XVII : 19-21, 24-25, et « Mais EL SHADDAÏ reprit : « Non, mais ta femme Sara te donnera un fils, tu l'appelleras Isaac, j'établirai mon alliance avec lui, comme une alliance perpétuelle, pour être son Dieu et celui de sa race après lui.
En faveur d'Ismaël aussi, je t'ai entendu : je le bénis, je le rendrai fécond, je le ferai croître extrêmement, il engendrera douze princes et je ferai de lui une grande nation. |
Mais mon alliance, je l'établirai avec Isaac, que va t'enfanter Sara, l'an prochain à cette saison »
Abraham était âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans lorsqu'on circoncit la chair de son prépuce et Ismaël, son fils, était âgé de treize ans lorsqu'on circoncit la chair de son prépuce. »
« Ceux qui passe » qui signifie Hébreu deviendront réellement un peuple par la descendance d’Abraham qui est une descendance pure, celle d’Ismaël est croisée hébreu-égyptien qui deviendront les Arabes du Désert donc de l’Arabie Désertique peuple belliqueux et vagabond, dont Abu-Kasim Muhammad dit Mahomet est le descendant, mais ceci est de l’histoire non de la religion.
Portez-vous bien et prenez soin de votre maisonnée et de vous !
Salutations cordiales à Tous
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
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