Fêtes Chrétiennes, l'Assomption
14/08/2019 17:56Fêtes de toute la Chrétienté
La chrétienté a un nombre incalculable de fêtes pour ses « Saints » qui change de nom chaque année, car on en arrive à avoir des saints du nom de « Mohamed », « Lydia », « Abdoulh », etc, mais cette chrétienté à aussi un calendrier de fêtes fixes inventées par « Eux » comme celle ci-dessous.
Fête du 15 Août où les fidèles prient une statue représentant la Vierge Marie.
L’ASSOMPTION
Qu’est-ce que « l’Assomption » ?
Quelle est son origine ?
C’est une fête « Chrétienne » !
De toute la chrétienté, catholique, orthodoxe et protestante !
Aucun texte biblique ne mentionne « une élévation de Marie » nommée « Assomption » par les « Catholiques », ni une « Dormition » nommée par les « Orthodoxes ».
Au IVème siècle, Épiphane de Salamine souligne que nul ne sait ce qu'il est advenu de Marie à la fin de sa vie. La tradition à ce sujet n'est pas attestée avant le Vème siècle.
Une tradition d’un manuscrit syriaque rapporte que la mort et l'Assomption de Marie, mère de Jésus le Nazaréen a lieu à Éphèse, dans la maison connue aujourd'hui comme la « Maison de la Vierge Marie », accompagnée de l'apôtre Jean, à qui le Christ, sur la croix, avait confié Marie.
Le fait est qu’il est à peu près certain que la Mère de Jésus le Nazaréen, Marie est décédé à Éphèse en présence de l’Apôtre Jean et que son corps ne goûta pas l’odeur de la terre et fut enlevé comme beaucoup : exemple Hénoch, Élie, Esdras, Baruch et tous ceux que j’oublie.
Reconnaissons que l’Apôtre Jean fait un silence de plomb sur la mort de Marie et de son « Élévation » aux Cieux.
Au VIème siècle, l'empereur byzantin Maurice instaure dans son empire, la fête de la « Dormition de la Vierge Marie » chaque année à la date du 15 août.
En occident, le Concile de Mayence, en 813 instaure à son tour la fête du 15 août sous le nom de fête de l'Assomption de la Vierge Marie.
La gué-guerre commence !
Le terme « Assomption » provient du verbe latin assumere, qui signifie « prendre », « enlever ».
L'Assomption de Marie est un dogme de l'Église catholique romaine --- {Dans son sens propre, le mot « dogme » -- [ mot attesté en 1580, issu du latin ecclésiastique dogma, lui-même du grec [dogma], « opinion »] -- appartient au vocabulaire philosophique et religieux. Il est d'origine philosophique puis devient religieux avec le christianisme.
Un dogme est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer. Historiquement, le dogme a été une formulation de foi, utilisé lorsque le critère de conformité à celle-ci, devait être utilisé par le pouvoir judiciaire, lorsque le pouvoir temporel sanctionnait pénalement les déviations par rapport à l'orthodoxie.} --- selon lequel, au terme de sa vie terrestre, la mère de Jésus aurait été « élevée au ciel »
Pour le moment rien n’est biblique, tout a été décrété par les humains.
Nous sommes bien dans un contexte d’idolâtrie.
Continuons pour savoir !
Le mot dormition -- en grec kimisis -- est usité, dans le vocabulaire chrétien pour désigner la mort des saints et des fidèles pieux, quand ce n'est pas une mort violente.
Il existe de très nombreux textes de la Dormition ou l’Assomption de Marie, mère de Jésus le Nazaréen, connus sous le titre générique de « Transitus Mariae » relatant des faits après sa mort.
On connaît, en effet, de multiples recensions de ces écrits en syriaque, grec, copte, arabe, éthiopien, latin, géorgien, arménien et slave.
Comme rien n’est dit au sujet de la fin de Marie dans le Nouveau Testament, l’influence de ces écrits a été d’autant plus considérable dans les Églises chrétiennes catholiques en Occident et orthodoxe en Orient.
Les manuscrits les plus connus et les plus anciens sur l’Assomption ou Dormition de Marie viennent d’un Pseudo-Jean écrit en grec et un Pseudo-Jacques écrit en syriaque. Il semblerait que l’écrit grec serait l’original et le plus ancien d’après les spécialistes en étude biblique. { Clavis apocryphorum Novi Testamenti, Bibliothéca hagiographica greca --- Étude historico-doctrinale, Vatican 1944, p.121 }
Il y a très peu de différence entre le texte grec et syriaque. L’original grec aurait été écrit dans le courant du Vème siècle.
Comme je l’ai écrit ci-dessus la « Dormition de Marie » est le plus vieux manuscrit d’un ensemble de textes apocryphes, appelés collectivement le « Transitus Mariae » daté généralement du Vème siècle. Cet ensemble de textes connus explicitement par l’Évêque de Rome ( pape ) Gélase Ier furent, en 495-496, déclarés apocryphes, comme étant « à ne pas retenir » par celui-ci. Ce jugement portait sur la compilation et non sur la croyance qu’elle détenait en elle-même.
Vous constatez qu’il n’y a toujours rien de biblique !
Continuons les faits historiques !
Je n’invente rien !
En effet, il est bon de connaître un peu d’histoire sur ce christianisme et sur ces fêtes religieuses.
En 451 à lieu le quatrième Concile œcuménique en la Basilique de Sainte Euphémie à Chalcédoine, aujourd’hui Kadiköy, un quartier chic asiatique d’Istanbul sur la rive occidentale.
Convoqué par l’empereur byzantin Marcien et son épouse l’impératrice Pulchérie le 8 octobre 451, 343 évêques, un record, dont 4 viennent d’Occident, redéfinissent la notion de personne :
a) comme le principe de différenciation relationnelle au sein du mystère d’un Dieu à la fois un et trine. (--- c’est-à-dire une Trinité ---)
b) comme le principe d’unité et d’identité, dans le cas des deux natures, dans la personne unique du Christ.
Pour la Vierge Marie, ce Concile décrète qu’elle sera désormais appelée « Mère de Dieu » ou « Théotokos ».
Toujours à ce Concile, l’évêque de Rome, Léon le Grand, refusera d’accepter le vingt-huitième Canon du Concile qui, en attribuant à la ville de Constantinople -- Istanbul -- le titre de « Nouvelle Rome », lui accordait de ce fait la primauté sur les autres patriarcats.
Par ce Concile nous voyons que la chrétienté se dessine une « Trilogie » c’est-à-dire « Un en Trois ».
Ce n’est plus du monothéisme !
Mais aussi le commencement de la séparation de la chrétienté en deux Églises qui se feront la guerre. Même de nos jours ces deux clans chrétiens s’acceptent difficilement.
Les enseignements de Jésus le Nazôréen, -- votre Jésus-Christ -- de ses Apôtres et Disciples sont bien loin ainsi que ce onzième commandement qui est aux oubliettes.
Vous remarquerez que ces humains décrètent que Marie sera appelée « Mère de Dieu », alors que la Bible dit bien qu’il n’existe qu’un seul et unique « Dieu ».
Aucune décision prise n’est biblique !
Se n’est pas fini car il y a encore plus fort ! …
Le terme « immaculée » signifie pure et sans tache.
L’Immaculée Conception de Marie est un dogme de l’Église catholique, défini le 8 décembre 1854 par le Pape Pie IX dans sa bulle « Ineffabilis Deus »
[ -- Une « bulle », que l’on appelle pontificale ou papale, est un document originel scellé par un sceau, par lequel le Pape pose un acte juridique important, une nomination épiscopale, une définition dogmatique, la convocation d’un Concile, une canonisation, etc. Le document relève du gouvernement pastoral de l’Église, et présente un intérêt pour l’ensemble des fidèles.
A l’origine, le terme désigne le sceau de métal, en plomb ou en or, attaché à un document pour l’authentifier. La chancellerie papale commence au VIème siècle à authentifier ses documents d’un sceau de plomb, -- la bulla -- pour les ordinaires, d’un sceau -- une bulla -- en or ou argent pour les plus importants.
A partir du XIIIème siècle les documents qui portaient ce sceau furent eux-mêmes nommés bulles. Depuis le XVème siècle le terme est réservé aux lettres apostoliques scellées du sceau de plomb.--]
Le dogme signifie que Marie, mère de Jésus le Nazaréen, -- Jésus-Christ pour vous chrétien -- fut conçue exempte du « péché originel »
La bulle déclare :
« Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine, qui tient que la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier instant de sa conception par une grâce et une faveur singulière du Dieu tout-puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu’ainsi elle doit être cru fermement, et constamment par tous les fidèles. »
Depuis 1477 par décision du Pape Sixte IV, la naissance supposée de Marie se fête un 8 décembre ; c’est l’Immaculée Conception. Cette fête fut confirmée par Clément XI en 1708. Elle est à l’origine de la « Fête des Lumières » célébrée chaque année à Lyon à cette date.
Voyons la réalité ! Il est impératif que Marie, la femme qui façonnera l’être humain qui sera appelé de son vivant « Jésus le Nazôréen », « Jésus de Nazareth », « Jésus fils du Charpentier » soit parfaite de corps, c’est-à-dire sans la tare génétique d’Adam et Ève.
Le Protévangile de Jacques qui fut écrit à la fin du règne d’Hérode Antipas en Palestine dans cette période trouble où complot, trahison, était monnaie courante, d’où la destitution de ce dernier avec l’aide de son successeur, Hérode Agrippa Ier, auprès de l’Empereur Romain Caligula, qui pour finir l’exilera en Gaulle.
Joachim et Anne après vingt ans de vie commune n’avaient toujours pas de postérité et pourtant ils étaient fidèles devant EL-SHADDAÏ. Ils jurèrent devant ce dernier que si, ils avaient une postérité garçon ou fille cet enfant serait dédié à EL-SHADDAÏ.
Protévangile de Jacques VII : 2-3 à VIII : 1
« 2. L'enfant eut trois ans. Joachim dit :
« Appelons les filles des Hébreux, celles qui sont sans tache. Que chacune prenne un flambeau et le tienne allumé : ainsi, Marie ne se retournera pas et son cœur ne sera pas retenu captif hors du temple du Seigneur. »
L'ordre fut suivi, et elles montèrent au temple d’EL-SHADDAÏ. Et le prêtre accueillit l'enfant et l'ayant embrassée, il la bénit et dit :
« Le Seigneur Dieu a exalté ton nom parmi toutes les générations. En toi, au dernier des jours, El-Shaddaï manifestera la rédemption aux fils d'Israël. »
3. Et il la fit asseoir sur le troisième degré de l'autel. Et EL-SHADDAÏ répandit sa grâce sur elle. Et ses pieds esquissèrent une danse et toute la maison d'Israël l'aima.
8.1. Ses parents descendirent, émerveillés, louant et glorifiant EL-SHADDAÏ souverain qui ne les avait pas dédaignés. Et Marie demeurait dans le temple du Seigneur, telle une colombe, et elle recevait sa nourriture de la main d'un ange. »
Par la bénédiction d’EL-SHADDAÏ sur les marches de l’autel, Marie était purifiée de la tare adamique et avait maintenant un corps parfait. Voici la suite
Protévangile de Jacques VIII : 2-3 à IX : 1-3
« 2. Quand elle eut quatorze ans, les prêtres se consultèrent et dirent :
« Voici que Marie a quatorze ans, dans le temple d’El-Shaddaï. Que ferons-nous d'elle, pour éviter qu'elle ne rende impur le sanctuaire du Seigneur notre Dieu ? »
Et ils dirent au grand-prêtre :
« Toi qui gardes l'autel d’EL-SHADDAÏ, entre et prie au sujet de cette enfant. Ce que le Seigneur te dira, nous le ferons. »
3. Et le prêtre revêtit l'habit aux douze clochettes pénétra dans le Saint des Saints et se mit en prière. Et voici qu'un ange d’El-Shaddaï apparut, disant :
« Zacharie, Zacharie, sors et convoque les veufs du peuple. Qu'ils apportent chacun une baguette. Et celui à qui El-Shaddaï montrera un signe en fera sa femme. »
Des hérauts s'égaillèrent dans tout le pays de Judée et la trompette du Seigneur retentit, et voici qu'ils accoururent tous.
9.1. Joseph jeta sa hache et lui aussi alla se joindre à la troupe. Ils se rendirent ensemble chez le prêtre avec leurs baguettes. Le prêtre prit ces baguettes, pénétra dans le temple et pria. Sa prière achevée, il reprit les baguettes, sortit et les leur rendit. Aucune ne portait de signe. Or Joseph reçut la sienne le dernier. Et voici qu'une colombe s'envola de sa baguette et vint se percher sur sa tête. Alors le prêtre :
« Joseph, Joseph, dit-il, tu es l'élu : c'est toi qui prendras en garde la vierge d’EL-SHADDAÏ. »
2. Mais Joseph protesta :
« J'ai des fils, je suis un vieillard et elle est une toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d'Israël ? »
« Joseph, répondit le prêtre, crains le Seigneur ton Dieu, et souviens-toi du sort qu’EL-SHADDAÏ a réservé à Dathan, Abiron et Corê. La terre s'entrouvrit et les engloutit tous à la fois, parce qu'ils lui avaient résisté. Et maintenant, Joseph, crains de semblables fléaux sur ta maison ! »
3. Très ému, Joseph prit la jeune fille sous sa protection et lui dit :
« Marie, le temple d’El-Shaddaï t'a confiée à moi. Maintenant je te laisse en ma maison. Car je pars construire mes bâtiments. Je reviendrai auprès de toi. EL-SHADDAÏ te gardera. » »
Dans ce texte nous trouvons un Joseph charpentier comme un homme étant connu et ayant du travail. Ce n’est pas ce miséreux de l’iconographie biblique qui a du mal à nourrir sa famille, dans ce Protévangile de Jacques c’est absolument le contraire et personnellement j’opterai pour cette seconde solution.
Toujours avec ce Protévangile, Marie ne fut pas couverte par un « Esprit-Saint » quelconque.
Protévangile de Jacques XI : 3
« 3. Et voici que l'ange, toujours devant elle, lui répondit :
« Non, Marie. Car la puissance d’EL-SHADDAÏ te prendra sous son ombre. Aussi l’enfant qui naîtra sera-t-il appelé le fils du Très-Haut. Tu lui donneras le nom de Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. »
Et Marie dit alors :
« Me voici devant lui sa servante ! Qu'il m'advienne selon ta parole. » »
Il est bien question de la puissance d’EL-SHADDAÏ qui posera le spermatozoïde dans l’ovule féminin. Tout est « SAIN », la fécondation, le corps féminin, il ne peut naître qu’un enfant « SAIN » et non comme la chrétienté « Saint », car là tout est propre, pur, cristallin, limpide, sans tache.
Il est prouvé que la vie de Marie fut exemplaire et qu’elle fut une grande prophétesse pour son fils unique et qu’elle n’a jamais eu d’autre enfant que celui-là, donc sans beaucoup me tromper elle resta vierge toute sa vie.
Je ne comprendrai jamais cette hypocrisie littéraire de la part des historiens et exégètes qui connaissent parfaitement les Lois du judaïsme et qui les mettent en premiers pour expliquer la vie religieuse des hébreux et qui la réfutent avec « les frères et sœurs » de Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi. En effet se sont les enfants males d’une famille qui donnent le statut à leur mère. Alors Jésus le Nazôréen étant un « hébreu, juif pour la langue française » qui est venu « non pour abolir la Loi mais pour l’accomplir complètement », je vois mal cet homme là, cloué sur le « Tau » de la torture romaine, confier sa mère au Disciple qu’il aimait le plus, c’est-à-dire Jean, s’il avait eu des « frères selon la chair ». Il est quand même écœurant que personne sur « Wikipédia » n’est soulevé « un lièvre aussi gros ».
Cela nous donne la certitude que Jésus le Nazôréen n’a jamais, j’écris bien jamais, eu de frères et encore moins de sœurs tout au plus des cousins germains et encore, mais sûrement des cousins par alliance ou comme l’on dit en degré.
L'Immaculée Conception n'est mentionnée dans aucun texte jugé canonique par les Églises chrétiennes.
Après la naissance revenons à la mort de Marie.
Ce que j’écris est malheureusement la vérité et l’histoire de cette religion.
Le 1er novembre 1950 l'Assomption de Marie est établie sous forme de dogme par la constitution apostolique « Munificentissimus Deus » du pape Pie XII.
« En l'autorité de notre Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux Apôtres Pierre et Paul, et par notre propre autorité, nous prononçons, déclarons, et définissons comme un dogme divinement révélé que l'Immaculée Mère de Dieu, la Vierge Marie, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à la gloire céleste »
— Constitution dogmatique Munificentissimus Deus, b. 44.
Par la suite, la constitution dogmatique « Lumen gentium du Concile Vatican II de 1964 » a énoncé :
« Enfin, la Vierge Immaculée, préservée de toute tache de la faute originelle, au terme de sa vie terrestre, fut élevée à la gloire du ciel en son âme et en son corps et elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers afin de ressembler plus parfaitement à son Fils, Seigneur des seigneurs et vainqueur du péché et de la mort. »
— Constitution dogmatique Lumen Gentium sur l'Eglise, b. 59
Depuis la déclaration d’infaillibilité pontificale par Vatican I en 1870, cette déclaration de Pie XII constitue la seule utilisation de l'infaillibilité papale « ex cathedra »
Je viens de vous exposer les textes des plus hauts dirigeant de la chrétienté, Évêque ou Pape.
Comme moi, vous remarquerez qu’il n’existe rien de biblique dans cette fête religieuse de l’Assomption ou Dormition. Toute cette histoire est une invention pure et simple d’êtres humains imparfaits.
Pour prendre Jésus le Nazaréen à témoin avec Apôtre et Disciple, -- « En l'autorité de notre Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux Apôtres Pierre et Paul, et par notre propre autorité … » il faut avoir un certain sens moral mauvais, mais surtout une vanité et un orgueil inimaginable. Le blasphème ne dérange pas ces humains là !
Aller écrire que Marie est « la Mère de Dieu », connaissant les « Écritures », il faut être un bon « Serviteur de Sammaël », -- Satan -- et railler l’Ancien Testament avec une certaine insolence.
Quand je pense, que se sont ces humains qui dirigent cette Religion, que je suis heureux de l’avoir quitté et être considéré par ses fidèles comme un « Païen ».
Remarquez la fourberie des « Dirigeants » de cette « Église » qui en font une religion hypocrite. Ce n’est pas une insulte de dire et d’écrire une réalité !
En effet, en déclarant au Concile de Chalcédoine en 451, que Marie est la « Mère de Dieu », puis en 1854 qu’elle est « Immaculée », en suite en 1950 qu’elle est « Immaculée et Mère de Dieu », ces Évêques et Papes, placent Jésus-Christ --- Jésus le Nazôréen pour moi --- comme un « Dieu » égal à son Père.
Je ne suis pas un imbécile et je sais compter, donc « Dieu le Père » plus « Dieu le Fils » cela fait deux « Dieux », Marie étant la « Mère de Dieu, du Dieu Jésus-Christ ».
Je suis certain qu’un grand nombre de chrétiens vont réfuter ces écrits, faisant l’autruche, ce qui est une facilité pour ne pas voire volontairement la vérité.
Je suis bien obligé, par amour pour mes semblables, de leur faire remarquer que cette religion chrétienne est une religion idolâtre, et que, les Enseignements de Jésus le Nazôréen ne font plus recettes dans cette religion.
Cet interlude terminé, je reprends le cours de mes écrits.
En attendant portez-vous bien et prenez soin de vous.
Salutations cordiales.
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »
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